Des fourmillements dans tout le corps...

Mes amis, mes amours,

À ce temps-ci de l’année, je fais toujours un ménage du printemps, non seulement de ma maison et de mes placards, mais également de mon blogue. Bien que j'aie modifié le modèle et la mise en page, il est toujours possible de lire mes anciens blogues via le menu chronologique à gauche. Mais le changement le plus important est l'ajout d'un outil de traduction, une nouveauté très intéressante pour mes amis et mes amours allophones. Sous le titre principal du blogue, vous trouverez le menu déroulant de « Google Traduction ». Le texte original en français sera automatiquement traduit dans la langue par défaut de votre système, mais vous pouvez, en tout temps, choisir une autre langue. Quel bonheur!
Cependant, veuillez prendre note que « Google Traduction » fait souvent des erreurs de syntaxe... Je ne peux rien y faire et je ne peux qu'assumer la responsabilité des fautes de français du texte original!

Heureusement, le printemps a enfin frappé à nos portes. J’ai miraculeusement survécu à cet hiver cauchemardesque, et ce sans le soutien des Messieurs Prozac et Zoloft. 


La fonte des glaces du canal de Lachine est quasi terminée
Le canal vu de la piste cyclable
Mon chez-moi enfin déneigé
Le marché Atwater reprend vie

Mon horaire était chargé d’études, mais j’ai quand même pris le temps de voir l’exposition « De Van Gogh à Kandinsky » au Musée des Beaux Arts de Montréal.












Le 15 mars, nous avons reçu, oui, encore une fois, la visite de mes amis pompiers.




Le dimanche de Pâques a été célébré dans le froid de Saint-Sauveur. Heureusement que la tempête de neige eut lieu la veille, car le trajet en pneus d’été, installés sur ma voiture deux jours plus tôt, aurait été périlleux, même mortel. Une table magnifiquement décorée nous attendait et un pudding chômeur nous a sucré le bec pour le reste de l’année.



J’ai accueilli de nouveau mon pensionnaire à quatre pattes, Moka. Toujours égal à lui-même, il ne s’est montré le nez qu’à quelques rares occasions durant les 10 jours passés au B&B du Temple.



Nous sommes maintenant au mois d’avril. Mon anniversaire s’approche à grands pas. Vous ne serez pas surpris d’apprendre que mon cœur et ma tête sont ailleurs qu’au Québec. J'ai des fourmillements dans tout le corps. La force gravitationnelle est si grande, qu’il m’est impossible de l’ignorer. Je m’envole donc le 17 avril dans un pays lointain, accompagnée cette fois-ci de ma mère. 

Vous trouverez, ci-dessous, un indice vous permettant de deviner notre destination. 
Quelle est la ville ? Reconnaissez-vous l'endroit précis ?



Pendant deux semaines, je montrerai à ma mère mes lieux de prédilection, dont je garde de si beaux souvenirs. Nous découvrirons ensemble de nouveaux endroits et nous mangerons avec appétit dans de  charmants restaurants de quartier. Dès samedi matin, la grande dépression, causée par le mauvais temps, sera chose du passé.


À très bientôt mes amis, mes amours.

Diane